L’éthique du mensonge
Dominique Ducerf
L’Harmattan – 2012 – Coll. Éthique au quotidien
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Du mensonge prédateur au mensonge protecteur, en passant par celui par faiblesse ou par frime, le mensonge présente de nombreux visages. Si certains contextes peuvent rendre le mensonge légitime, nécessiter l’effacement d’une certaine vérité au profit de l’éthique, il s’agit avant tout de comprendre l’intérêt psychologique, social et surtout spirituel à entrer dans une démarche d’évitement du mensonge. Car la force de celui-ci est qu’il finit par nous duper nous-mêmes, nous entraînant inconsciemment, par delà les effets en retour de tous ordres, dans une érosion de notre soi.
Quels sont les ressorts du mensonge ? Quels en sont les effets, sur autrui et sur soi ? Des situations concrètes sont analysées, permettant, par miroir, de percevoir son positionnement personnel. Quelques exercices pratiques en fin d’ouvrage permettent de concrétiser l’engagement dans une démarche qui vise à rapprocher chacun de la vérité et de sa vérité.
Sommaire
Introduction
De quoi parlons-nous ?
Premiers mensonges, première approche
L’intention mensongère
Quelques types de mensonges
Les mensonges « prédateurs »
Les mensonges « protecteurs »
Pourquoi éviter de mentir ?
Le rejet du mensonge
Les conséquences du mensonge
Des conséquences pour le menteur
Des conséquences pour les autres
Des bons et des mauvais mensonges…
Les contextes légitimes
« Toute vérité n’est pas bonne à dire. »
Moralement, à qui devons-nous la vérité ?
Mon mensonge va-t-il nuire à autrui ?
Qu’ai-je à craindre si je dis la vérité ?
Comment rester sincère lorsqu’on est contraint de cacher la vérité ?
Comment se dupe-t-on soi-même ?
Comment lutter contre le mensonge à soi-même ?
Conclusion
Programme pratique pour lutter contre le mensonge
Le mensonge en dix points